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Venez nombreux retrouver Jackie BLAS, de l'association Le Regain, grand spécialiste de cette discipline.
Pour permettre à ses membres de profiter des Journées du Patrimoine, Le Regain "Roucy d'hier & de demain" a décidé de ne pas organiser de manifestation cette année.
En revanche, l'association a retenu l'idée d'aller visiter, samedi 15 septembre, l'ancienne manufacture royale des Glaces à Saint-Gobain.
Cette balade est ouverte à toutes les personnes intéressées (adhérents et non-adhérents).
A midi, pique-nique tiré du panier (à ne pas oublier).
Rendez-vous devant la mairie de Roucy, samedi 15 septembre à 09h00, pour organiser le covoiturage.
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A samedi !
Roucy, dimanche 3 juin 2018.
Belle journée ensoleillée.
Pendant que les plus sportifs s'affrontent au jeu de boules, quelques aventuriers, (sans doute les plus maladroits à la pétanque) ont préféré excursionner dans les magnifiques paysages du Laonnois, vers Mons-en-Laonnois et Royaucourt et Chailvet.
Ci-dessous quelques photos de cette mémorable balade.
L'Association Le Regain "Roucy d'hier & de demain" s'est réunie en assemblée générale le samedi 7 avril.
Daniel CHARLES, après plusieurs années de présidence, a souhaité se retirer de cette fonction.
Paul BERTIN a été élu Président à l'unanimité, tandis que Daniel CHARLES était élu Président d'honneur par acclamation.
Le Bureau reste inchangé.
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Et, en route pour de nouvelles aventures...
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Retrouvez dans le diaporama ci-dessous toutes les photos.
Ce dimanche 21 septembre, le temps était maussade, mais sans précipitation. Sans précipitation, comme les visites de Roucy organisées par notre association Le Regain, qui ont permis aux visiteurs, curieux et attentifs, de découvrir en détail le village et son histoire.
Chaque année, nous sommes agréablement surpris de rencontrer des visiteurs venus de loin, parfois de l’étranger. Cette année, la palme revient sans doute à un étudiant « thésard » venu de Saint Quentin, mais… à vélo.
Au sommet de la motte féodale des jeux d’arc ont animé l’après-midi et nous ont rappelé l’époque où le château était attaqué par Herbert de Vermandois (954) ou les Anglais (1358).
Août 1914, la France vient d’entrer en guerre. Les débuts sont catastrophiques. Jusqu’au 6 septembre, l’armée allemande avance rapidement jusqu’à menacer Paris.
Les troupes britanniques, et la Vème Armée française se replient précipitamment vers l’Aisne, puis la Marne.
Le 29 août, le gouvernement français quitte Paris et s’installe à Bordeaux. Le 4 septembre, l’armée allemande occupe Reims.
Le 6 septembre, la première bataille de la Marne stoppe l’avancée de l’armée allemande qui reflue jusqu’à l’Aisne, la Vesle et la Suippe où les deux armées vont s’enterrer pendant quatre ans.
Du 25 août au 13 septembre 1914, les troupes de la 5ème armée commandées par le Général LANREZAC ont parcouru plus de 450 km à travers l’Aisne pour échapper à l’encerclement de l’armée allemande. Pendant trois semaines, l’Aisne a été le théâtre de combats sanglants de jour, et de marches forcées de nuit. Cet engagement surhumain de 360 000 pioupious face à plus de 600 000 ennemis a permis de sauver toute l’armée française. Pendant ce drame, la population axonaise de plus de 500 000 âmes a essayé de survivre. Beaucoup d’habitants ont dû fuir, certains sont morts. Plus de 150 000 ne sont pas revenus dans leur foyer. L’Aisne a été dévastée.
Pour ne pas « oublier », de nombreuses associations et institutions ont organisé une « MARCHE DE LA VERITE ».
Du 26 août au 13 septembre, un groupe de randonneurs a effectué cette marche forcée, de Fourmies à Craonne, en suivant les traces des soldats de la Vème Armée du Général LANREZAC.
Cinq marcheurs ont effectué la totalité du parcours, mais beaucoup d’autres les ont accompagné le temps d’une ou de quelques étapes.
Le vendredi 12 septembre, la « troupe » est repartie de Fismes, passant par Courlandon, Romain, Ventelay et Concevreux, elle est arrivée à Roucy, accompagnée par 150 élèves du collège de Corbeny.
Samedi 13, à 5h30, après avoir bivouaqué à Roucy, les randonneurs ont repris leur marche dans la nuit pour l’ultime étape.
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La conclusion de cette « Marche de la vérité » est en fait une question qui a taraudé les participants tout au long du parcours : « Comment ces braves « pioupious » qui allaient bientôt devenir les « poilus » ont-ils pu, tout en combattant, effectuer ce périple de 450 km, à pied, sans carte pour se guider, un havresac de 35 kg sur le dos ? »
Didier Rabault et son vélo géant ont été choisis par le quotidien L’Axonais pour illustrer l’édition du jeudi 10 juillet annonçant le passage du Tour de France et du président de la République sur le Chemin des Dames.
Ils sont venus de toutes les régions de France, mais aussi de l’étranger. Ils sont venus à Roucy voir passer les coureurs de « la Grande Boucle ».
Français, Allemands, Anglais, Belges, Néerlandais, et d’autres nationalités, réunis dans un même engouement pour l’évènement sportif gratuit le plus important au monde, le Tour de France cycliste, qui en cette année de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, passait par le Chemin des Dames.
Roucy n’avait connu pareil envahissement depuis la Grande Guerre, mais celui-ci était oh ! combien sympathique. Yves GIBEAU aurait aimé.
Le temps maussade, en début de matinée, a favorisé les rencontres autour d’un bon café, rencontres qui se sont poursuivies tout au long de la journée autour d’une bière ou d’un blida de champagne, et d’une barquette de frites, chacun y allant de son commentaire, pas toujours sportif.
L’animation était à son comble lors du passage de la caravane publicitaire prisée des petits comme des grands. Heureusement, la gendarmerie veillait pour éviter les accidents.
Puis vinrent les coureurs, qui traversèrent Roucy, « en danseuse » s’il vous plait, la côte de Roucy compte pour le grand prix de la montagne !
Le Président de la République, François HOLLANDE, aussi est passé… en voiture.
La salle des fêtes était trop petite pour accueillir tous ceux qui voulurent suivre la fin de la course et l’arrivée à Reims, sur le grand écran mis à leur disposition.
Un seul regret, alors que Roucy était un lieu de relai pour les hélicoptères, nous n’avons pas eu droit au survol du village et donc aux images de Roucy « vu du ciel ».
N’oublions pas le travail effectué par les associations et bénévoles de Roucy qui ont permis, au niveau local, la réussite de cette mémorable journée.
Venez nombreux à Roucy, jeudi 10 juillet, assister au passage de la caravane et des coureurs, lors de l’étape Arras-Reims.
ATTENTION l’accès à Roucy sera impossible à partir de midi*, mais buvettes et restauration possible sur place.
Vers 12h30, traversée de Roucy par un peloton de cyclistes amateurs et pro « les Bleuets ».
Vers 14h40, passage de la caravane d’animation.
Vers 16h30, passage des coureurs.
Le vélo « hors compétition » conçu et réalisé par Didier RABAULT, de Roucy
La côte de Roucy, avec ses 1 400 m à 6,2 %, est classée en 4ème catégorie pour le classement du Grand Prix de la montagne qui récompense le meilleur grimpeur (le fameux maillot blanc à pois rouges).
Présence d’un stand de vente des produits officiels du Tour de France.
L’association Le Regain retransmet l’étape, en direct, sur grand écran dans la salle des fêtes de Roucy.
*Toutes les rues donnant sur la rue principale seront fermées à partir de 9h00
Cette année, la journée des moulins a été l’occasion de découvrir le tir à l’arc et de participer, dans une joyeuse ambiance, à une compétition très disputée.
Merci à Jackie BLAS, grand spécialiste de cette discipline, qui a organisé cette rencontre où petits et grands ont pu se défouler. Aucune victime n’est à déplorer.
Retrouvez les photos dans la rubrique « Roucy : cartes postales et photos » ou en cliquant sur le lien :
Monsieur le marquis de Ferrières-Sauveboeuf est l’arrière-petit-neveu du comte d’Imécourt ancien propriétaire du château, fondateur de l’hospice en 1861 et ancien maire de Roucy. Il y a quelques mois, il nous avait adressé la copie de gouaches de son grand-père Armand de Ferrières (voir l’article Lieutenant Armand de Ferrières du 6 janvier 2014 dans la Recherche par thème : Histoire de Roucy).
Le 9 avril 2014, il est venu, accompagné de son épouse, découvrir Roucy et l’emplacement du château de son ancêtre. La visite fut très agréable et donna l’occasion d'échanges intéressants. M. et Mme de Ferrières ont beaucoup apprécié leur journée à Roucy et ont formulé le souhait d'y revenir.
Charles Antoine, marquis de Ferrières-Sauveboeuf, et son épouse
devant le tombeau de la famille de Vassinhac d'Imécourt dans le cimetière de Roucy
Lors de son passage à Roucy, monsieur de Ferrières-Sauveboeuf nous a permis d'admirer deux des tableaux originaux de son grand-père.
Le château de Roucy, d'après les gouaches originales
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Le garde-champêtre-Georgette CHARLES-2010